- Text Size +

Red est au-dessus de moi, et son sourire transpire de fierté. Avant de venir jusqu'à moi, elle a fait un détour par la porte pour la fermer à clé. Alors qu'elle se penche et approche sa main de moi, je ne dis pas un seul mot. Puis elle m'attrape enfin, mais elle exerce beaucoup trop de pression. J'ai beau être solide, les contacts violents restent douloureux. Elle m'approche jusque devant son visage, et me souffle les mots suivants :

 

 

"Écoute moi microbe. Je veux bien que tu sympathises avec Alice, mais si elle sait un seul mot de ce que je te fais, je te promets que tu le regretteras. Alors tu ferais mieux de tenir ta langue et jouer le jeu : c'est pour ton bien. C'est compris espèce de misérable insecte ?"

 

 

"O-... Oui Déesse..."

 

 

"Oooh tu sais que je ne m'en lasserais jamais de t'entendre dire ça...? Mmmh...? Alors, qu'est-ce que tu penses de mes ongles ?"
Je regarde ses doigts, mais je remarque que ceux-ci ne sont pas vernis. 

 

 

"...euh..."

 

 

"Mais non pas ceux-là idiot, à mes pieds. Attends..."

 

 

Sur ce elle se baisse pour me poser devant ses pieds. Je ne m'habituerais jamais à leur taille gigantesque, ils sont géants ! Je ne sais pas, son gros orteil doit être plus gros que ma tête, si ce n'est mon torse entier ! Je suis cependant plus haut que son pied (je dois arriver à sa cheville) et je vois donc parfaitement ses 10 ongles peints. Ils sont rayés de rouge et de transparent, le mariage est véritablement sublime ! Les traits brillants qui traversent ses ongles en diagonale embellissent véritablement ses pieds, déjà objectivement très mignons. S'ils n'appartenaient pas à cette malade mentale et qu'elle ne s'en servait pas comme de deux outils de torture, alors je les trouverais quasi irrésistibles. Cependant, même si je parviens à maîtriser mes pulsions psychologiques, mon sexe lui ne se laisse pas faire : il pointe déjà fièrement, prêt à l'action.

 

 

"Oooh si c'est pas beau ça ? Regarde moi ça, ta toute petite bite qui grossit, rien que pour mes orteils ! Oui je sais, ils sont magnifiques... J'ai vraiment des pieds trop beaux..." Elle glisse alors la main sous son jean. "Allez esclave... Au boulot, on a pas beaucoup de temps..."

 

 

Sur ce, elle soulève ses orteils et les repose. Puis elles les rétractent devant moi, et je me sens appelé. Malgré ma claire attirance pour ses pieds, je m'agenouille à contre coeur et m'approche de son pied gauche. Il dégage une odeur forte, celle du vernis tout juste sec. Soudain, lorsque je pose mes mains sur son second orteil, ils se dressent tous et je suis alors soulevé par leur force démesurée.

 

 

"Mmmmh..."

 

 

Puis je me décolle finalement d'eux alors que je suis projeté en arrière, et je retombe sur le sol froid et dur. Instantanément, je vois son pied arriver au-dessus et je suis en un rien de temps écrasé par le membre blanc. 

 

 

"Ooooh..."

 

 

Elle me fait de nouveau rouler sous sa semelle froide, et elle semble vraiment kiffer faire ça :

 

 

"Aaaah...!"

 

 

Son pied est désormais chaud, et elle appuie de plus en plus sur moi. La chaleur, la pression, la douceur de sa peau et l'excitation suffisent presque à me faire éjaculer, je me sens approcher du point de non-retour. Noooon...

 

 

"Aaaah je... je... Putin tu es si faible... AAAH... OoOooh ! HEEEEN !!!"

 

 

Durant son orgasme, elle m'écrase sous son pied, elle a au moins du mettre tout son poids. Ses orteils se rétractent sur moi alors que j'essaie de prendre de l'air. Je reste encore écrasé sous son pied quelques instants avant qu'elle ne décide de me libérer. Je sens enfin l'air frais sur moi, et c'est une délivrance !

 

J'ouvre les yeux pour voir que le pied au-dessus de moi n'est plus là et je m'aperçois qu'elle le tient en fait devant son visage, le semelle vers elle comme pour l'examiner. 

 

 

"Ooh c'est dommage, t'es même pas venu.. Bof, c'est pas grave, ça arrivera bien un jour au l'autre ! Quand tes couilles seront trop pleines je suppose, hihi." Elle ricane à sa blague ridicule.

 

 

Puis elle se penche et me pince entre ses doigts avant de me poser sur le bureau. Au même moment, j'entends quelqu'un toquer à la porte, c'est forcément Alice !

 

 

"Bon elle est revenue. Écoute moi espèce de pauvre merde, tu à intérêt à fermer ta gueule, ok ? Si jamais j'apprends qu'elle sait quoi que ce soit, putain... Je te jure, t'auras enfin une vraie raison pour me détester."

 

You must login (register) to review.