Tout dans les fesses [FR] by HistoiresDeGeantes
Summary:

La vie de Sandra est pourrie par son gros derrière. Elle donnerait tout pour s'en débarrasser.

Elle se ruine pour acheter une potion sensée exaucer son souhait.

Mais les choses ne se passent pas comme prévu...


Categories: BBW, Butt, Gentle, Growing/Shrinking Out of Clothes, Growing Woman, Slow Size Change Characters: None
Growth: Amazon (7 ft. to 15 ft.)
Shrink: None
Size Roles: F/m
Warnings: Following story may contain inappropriate material for certain audiences
Challenges: None
Series: None
Chapters: 3 Completed: No Word count: 4520 Read: 6628 Published: June 03 2019 Updated: June 20 2019

1. Chapter 1 by HistoiresDeGeantes

2. Chapter 2 by HistoiresDeGeantes

3. Chapter 3 by HistoiresDeGeantes

Chapter 1 by HistoiresDeGeantes

- Je voudrais simplement me débarrasser de... de...

- De quoi donc voulez-vous vous débarrasser jeune femme ? souria la libraire.

- De... De mes...

- Oui ?

- De mes grosses fesses ! balança Sandra. J'ai toujours eu des rondeurs à ce niveau là. Ça m'a valu bien des moqueries au collège et au lycée. Les garçons m'appelaient "Gros cul". Depuis je suis super complexée et ça me gâche la vie.

Elle s'enfouit la tête dans les mains. Refoulant une larme. La libraire, une rousse imposante, la cinquantaine, fit teinter ses innombrables colliers, bracelets, bagues et autres ornements en s'approchant d'elle. Elle lui pris la main avec douceur. D'un regard, elle l'encouragea à continuer de s'exprimer.

- Et là, depuis un an, j'ai pris un peu de poids avec le stress de mon nouveau travail : tout dans le postérieur ! gémit-elle. Le petit ami avec qui je vis depuis 3 mois est génial, mais ... je sais que ça lui pose problème. Il m'a déjà fait plusieurs réflexions. J'ai peur qu'il ne me quitte à cause de ça.

La libraire lui tapota l'avant bras.

- Vous vous aimez ?

- Oui. Je crois...

- Où est le problème alors ?

- ...

La libraire soupira. Elle se retourna et se mit à chercher quelque chose sur les étagères, derrière le comptoir. Elle ouvrit des tiroirs pleins de pierres multicolores, d'autres de poudres aux odeurs entêtantes, d'autres contenant de petits objets inconnus, ...

-Ah! fit-elle en se saisissant d'une fiole en verre, d'un rouge profond.

Elle déposa la fiole sur le comptoir et se mit à tapoter sa caisse enregistreuse.

- Deux gouttes par jour, sur la langue, pendant toute la durée du traitement. A prendre tant que le problème persistera.

Sandra se saisit de la fiole, ravie.

- Ça fera 60 euros ma mignonne.

Ouch. Sandra paya sans mot dire. Elle mangera des pâtes pour la fin du mois.

Elle quitta la librairie ésotérique et son étrange tenancière, et rentra fissa dans son appartement. Aussitôt la porte refermée, elle déboucha la fiole. Elle renifla le curieux liquide : pouah! Une odeur aigrelette lui piqua les narines. En tout cas, elle ne lui avait pas refourguée un parfum.

Elle se pinça le nez, et fit goutter la fiole deux, trois... quatre fois sur sa langue. Erk. Hyper amer. Elle avala un jus de fruit pour faire passer le goût. Elle passa ses mains sur ses fesses, dans l'espoir fou de les sentir maigrir.

Brrr Brrr

Elle sortit son portable de sa poche. C'était un SMS de Jeff :

"Coucou ma puce, je sort du taf. Je dort chez toi ? Je ramène une bouteille. Bisoux"

Sandra sourit. Soirée romantique en perspective ! Elle lui répondit et se mit aussitôt au travail.

30 minutes plus tard, Jeff sonnait à la porte. Sandra avait juste eu le temps d'improviser un petit dîner et de se changer. Elle avait enfilé son seul chemisier propre, qu'elle avait pris soin de déboutonner pour dévoiler son décolleté. Ses jambes étaient moulées par son jean préféré, celui qui contenait au mieux son gros derrière. Même ainsi, son bassin faisait presque deux fois la largeur de son torse. Evidemment, elle ne ressentait pas le moindre effet de la pseudo potion magique que lui avait escroquée la libraire. Elle n'avait pas seulement un cul d'hippopotame, elle avait aussi une tête de pigeon. Elle soupira et ouvrit la porte à son petit ami.

Jeff avait une petite barbe négligée, une chevelure brune coupée courte, et des yeux bleu qui la faisait rêver. Il était plus grand qu'elle, ses yeux arrivait à hauteur de sa bouche légèrement pincée. Il était en forme sans être athlétique, en tout cas pour un jeune homme de 27 ans.

Il se pencha et déposa un baiser sur ses lèvres.

- Bonsoir ma puce. Tu vas bien ?

- Très, maintenant que tu es là ! lâcha-t-elle en espérant ne pas avoir l'air trop cruche.

Il lui rendit son sourire et brandit une bouteille de bourgogne.

- Je débouche ce grand cru et je suis à toi !

Il sortit de son sac à dos un petit carton contenant des verres à vin : étant caviste, il ne supportait pas de boire du vin dans des verres non adaptés. Sandra aimait ce côté sophistiqué chez lui, et puis, ses verres ballons, avec des pieds interminables, étaient très élégants !

Pendant qu'il était occupé au fond de la cuisine à déboucher la bouteille et servir les verres, Sandra disposa des olives et pistaches dans de petits bols.

Elle sentit quelque chose se frotter à ses fesses.

- Pardon, fit Jeff froidement.

Jeff s'était glissé derrière elle, les verres à la main, et tentait de regagner le salon. Sans s'en rendre compte, elle s'était penchée de telle manière que son postérieur encombrait la sortie de la cuisine. Il n'avait pas pu faire autrement que de la frotter de son entrejambe. Elle se redressa d'un coup pour le laisser passer.

L'embarras rougit le visage de Sandra. A son ton, elle savait que Jeff trouvait grotesque la taille de ses fesses, et désapprouvait d'avoir eu à les toucher juste pour sortir de la cuisine. Elle était mortifiée qu'une telle situation se présente, menaçant de gâcher l'ambiance de ce début de soirée.

Mais, malgré elle, une autre sensation l'envahissait. Un picotement délicieux qui semblait partir de son arrière train et fleurir dans tout son être. La réminiscence de ce contact fugace n'en finissait pas de se répandre en elle, de réchauffer ses fesses, son sexe. L'image de Jeff collé ainsi à elle s'imposait à son esprit, porteuse d'un érotisme torrentiel.

Elle se mordit la lèvre.

- Mm...

Un petit gémissement lui échappa, en dépit de tous ses efforts pour se contenir.

Ses fesses irradiaient le plaisir. Elles vibraient, chauffaient, ... grossissaient ? Son jean comprimait ses fesses. Plus qu'à la normale.

- Mmf!

Sa culotte s'enfonçait dans sa raie. Toute sa croupe frémissait de plaisir. Elle fit un effort considérable pour résister à la volupté, posa une main sur son postérieur et la sentit, lentement repoussée. Elle entendit les coutures de son pantalon gémir. Aucun doute possible. Son postérieur enflait.

- Non! se lamenta-t-elle tout haut.

- Un problème Sandra ? demanda Jeff du canapé où il l'attendait. Tu veux un coup de main ?

Elle fit tout son possible pour refouler l'image qu'évoquait sa dernière phrase.

- Tout va bien Jeff. J'ai juste renversé des olives. J'arrive.

Elle respira profondément. Le plaisir disparaissait. Ses fesses refroidissaient. Les choses revenaient à la normale. Elle ne devait pas réfléchir. Juste faire bonne figure et trouver une excuse pour faire partir Jeff.

Elle le rejoignit dans le salon, disposa les apéritifs sur la table basse, et s'assit à l'autre extrémité du canapé. Jeff avait allumé la télé. Il regardait une émission de télé réalité peuplée de mannequins qui batifolaient dans une piscine.

Il dégustait son verre sans mot dire, en fixant les silhouettes graciles des participantes en maillot de bain. Alors qu'elle s'apprêtait à rompre le silence, Jeff pris la parole :

- Elle est vraiment mignonne Sandy, tu trouves pas ?

- C'est qui ?

- Celle dans le bikini rose qui rit tout le temps.

Sandra trouva la fille en question allongée au bord du bassin. Son maillot de bain ne couvrant qu'une infime partie de son anatomie, elle eu tout loisir de percevoir la maigreur de Sandy, et surtout : la platitude de ses fesses, pour ainsi dire inexistantes. Chacune de ses propres fesse pouvait facilement contenir un cul de Sandy entier.

La honte l'envahie, plus glaçante que tout à l'heure dans la cuisine. Elle se sentait profondément humiliée, surtout parce que c'était la personne qu'elle aimait qui la ramenait à son complexe. Elle était triste qu'un si beau moment de sa vie ne soit encore gâché par son foutu derrière. Les larmes lui montaient aux yeux. Elle aurait voulu s'arracher les fesses et les jeter par la fenêtre.

Comme répondant à ce souhait mental, son bassin tressaillit. La même sensation lascive enflamma son postérieur. Une vague de chaleur orgasmique descendait en elle, chamboulant sa croupe, cambrant son dos, mouillant son sexe.

- Omf... gémit-elle en se pliant en deux, combattant du mieux qu'elle pouvait ce torrent de désir. En vain. Elle le sentait : son derrière grossissait à nouveau, repoussait le textile, avide de s'épanouir davantage. Et plus il grossissait, plus le plaisir était grand, de plus en plus irrésistible.

"riiiIIIP"

Son jean venait de craquer bruyamment. Si elle l'avait pu, elle aurait rougit encore plus. Mais elle était déjà aussi écarlate que possible. Elle tourna sa tête vers son petit ami.

Jeff s’était levé et avait fait un pas en arrière, il contemplait le bas de son dos avec une fascination effrayée.

- Tu-tu viens de déchirer ton pantalon ?

- M-Mais no- Han!

Une onde de jouissance la coupa au milieu de sa phrase. Ses fesses gagnèrent encore quelques millimètres de diamètres. Elle les sentit s’enfoncer, dans le coussin du canapé, s’écraser délicieusement contre le dossier. La déchirure de son jean s’agrandit, rendant désormais clairement visible à Jeff sa petite culotte. Du moins, la partie de sa culotte qui n’était pas enfouie dans sa raie.

Jeff contemplait la scène, interdit.

 

Chapter 2 by HistoiresDeGeantes

Il lui fallut un instant pour regagner sa contenance.

- Sandra. Tu viens vraiment de déchirer ton jean avec ton cul ? demanda-t-il outré. Ça en devient ridicule tu ne crois pas ? Je sais pas moi, met-toi au sport, fait un régime. Il serait temps que tu te prennes en main pour en finir une bonne fois avec ce gros cul !

Sa déclaration aurait dû la terrasser. Mais elle eut sur elle un autre effet. Elle attisa sa fièvre sexuelle. Le voir s’acharner ainsi, adresser à haute voix le sujet de ses fesses, qu’il les traite de grosse explicitement : elle n’avait jamais rien entendu d’aussi excitant. Chacune des ses sentences énervées dévoilaient un peu plus en elle un fantasme nouveau. Le simple fait qu’il s’intéresse à son cul, même pour en dire du mal, lui donnait une bouffée de chaleur. Elle avait vaguement conscience que la potion brouillait ses émotions, transformait sa honte en désir, son embarras en excitation. Au fond, elle s’en moquait. Le plaisir était trop grand.
Quand il a prononcé “gros cul”, c’est comme s’il avait énoncé un ordre : ses fesses bondirent d’une demi-taille supplémentaire. Son ample derrière s’étalait, faisant grincer le cuir du canapé. L’entrejambe de son jean continuait de se déchirer.

- Pourquoi ton cul grossit-il ? articula Jeff avec inquiétude.

Sa question l’excita de plus belle. Elle sentait qu’elle perdait le contrôle. Elle devait faire quelque chose, pousser Jeff dehors, le faire partir. Avec effort, elle se releva du canapé. Aussitôt, elle sentit que son centre de gravité avait changé.

Jeff ouvrit des yeux ronds et sa bouche s’entrouvrit. Elle suivit son regard et constata l’ampleur du désastre : ses hanches avaient pris un volume tout à fait anormal. Elle était désormais large comme deux personnes. Le constater fit frétiller son popotin. Elle entreprit de faire le tour de la table basse afin d’attraper son compagnon et l’entraîner au plus vite vers la sortie. Elle n’avait pas fait trois pas qu’elle sentit son derrière rebondir sur quelque chose.

“Bang”

Elle jeta un œil derrière elle : sa télé avait basculé et était venue se fracasser sur le coin de la table basse. Elle était complètement hors d’usage.

- Sandra, s’indigna Jeff, ton gros cul viens de détruire ta télé toute neuve !

Ses fesses tremblèrent à nouveau, plus fortement. Sandra n’essaya même plus de résister. Elle porta ses mains à son sexe et se plia en deux, exposant son impossible postérieur à Jeff.

- Ooohhhh oummmf…

Son tour de fesse s’élargit d’une bonne taille en l’espace d’une poignée de secondes. Elle tressaillit de plaisir, ce qui eu pour effet de faire onduler hypnotiquement son postérieur. Son jean se fissurait de partout, révélant de larges portions de capiton tendre et frémissant.

- Oh ouiiiii!

Sandra avait jeté toute pudeur par la fenêtre. Elle s’abandonnait à l’instant, savourait ce plaisir généreux que lui donnait la surface si large de son postérieur. Elle en voulait encore, elle en voulait plus.

Jeff regardait avec une confusion grandissante les fesses de sa petite amie grossir dans des proportions dantesques. Il n’arrivait plus à détacher son regard de cet immense postérieur dont il n’imaginait pas pouvoir faire le tour de ses deux bras. Que cette masse scabreuse fusse attachée à sa petite amie le perturbait au plus haut point. Il lutta contre son envie de le toucher et demanda d’une voix chevrotante :

- Ne me dis pas que tu prends plaisir à ce qui t’arrive ? Comment peux-tu te réjouir avec un cul aussi énorme ? Aussi obscène ?

Si Jeff avait voulu l’encourager, il ne s’y serait pas pris autrement. Elle plaqua sa main droite sur sa fesse pour le sentir grossir.

- Ha… Haaaaaannn…

Elle jouissait.

Le plaisir qui émanait de son fondement était maintenant si intense qu’elle le sentait se diffuser partout dans son corps. Ses seins appuyaient agréablement contre son soutient-gorge. Son chemisier et ses sandales commençaient à la serrer. Elle n’en avait cure.

Jeff vit la croupe de sa petite amie s’élever, centimètres après centimètres. Il leva les yeux et compris : ce n’était pas seulement ses fesses qui s’élevaient. Ses épaules s’élargissaient, ses jambes s’allongeaient, sa tête s’étirait, sa main se répandait sur sa large fesse. Sandra toute entière était en train de grandir. Comme si son corps s’adaptait à son postérieur, et gagnait en masse pour lui permettre de continuer à grossir. Le sommet du crâne de sa petite amie devait maintenant lui arriver au niveau des yeux. Elle lui tournait toujours le dos et n’avait pas l’air d’avoir conscience de ce qui lui arrivait. Au contraire, elle continuait de gémir doucement, de respirer profondément.

- Ohhhh c’est bon… Encore… Jeff… Jeff…

Son plaisir retombait. Elle ne grandissait plus. Elle se retourna pour lui faire face, sa main toujours posée sur sa large fesse.

- Je t’en prie Jeff, demanda-t-elle d’une petite voix hésitante, redis-le moi…

Elle avait une expression d’embarras immense, comme si elle était surprise en train de se masturber par un inconnu. Et sa voix sonnait comme une excuse. Jeff, néanmoins, se sentait désarçonné, menacé même, par sa plus si petite amie. Il émanait d’elle une pulsion sexuelle si folle, si furieuse, qu’elle lui faisait perdre le contrôle. Elle pourtant si discrète, si prude habituellement, semblait à deux doigts de lui sauter dessus.

- Q-Que veux-tu que je te redise ? bégaya Jeff d’une voix aussi petite qu’elle.

Elle fit une enjambée vers lui, faisant rouler ses hanches. Son jean craquait de plus belle, de longues déchirures révélaient ses cuisses épaisses. Elle était désormais à moins d’un mètre de lui, et la taille de sa silhouette, aussi bien que sa largeur, intimida Jeff au plus haut point. Elle se mit de côté, révélant toute la rondeur de son derrière.

- Que penses-tu de … mes fesses ?

Sa voix était aussi ténue qu’auparavant, mais avait gagné une pointe d’insistance. Il recula d’un pas, effrayé par les événements, et plus encore par l’attitude absurde de Sandra. Il ne reconnaissait plus la personne complexée avec qui il avait partagé ces derniers mois.

- Tu veux savoir ce que j’en pense de ton cul ? répondit-il avec des accents éraillés et fuyants. C’est évident pourtant.

- Dis-le. Dis-le s’il te plaît, demanda-t-elle gentiment.

Elle tourna complètement son postérieur vers lui, l’offrit à son regard dans un roulement sensuel du bassin. Sa raie apparaissait presque totalement à travers la déchirure qui parcourait son entrejambe.

-Est-ce que mes fesses te paraissent… trop grosses ?

Elle se cambra et leva son postérieur vers lui, dans une pose plus que suggestive. Cette forme ample et généreuse appelait irrésistiblement son regard, mais aussi ses mains qu’il dû retenir avec effort.

 

Chapter 3 by HistoiresDeGeantes

Jeff déglutit. Il se sentait soudain tout petit face à ce large fessier qui s’approchait de lui et menaçait de l’engloutir. Il avait beau être encore un peu plus grand qu’elle, elle pesait certainement plus que lui à présent. Inconsciemment, il esquissa un nouveau pas en arrière, mais son talon heurta le mur. Une goutte de sueur glacée ruissela dans sa nuque et le fit frissonner. L’idée lui vint de prendre la fuite. De courir tout de suite, sans attendre, vers la sortie. Il chassa cette pensée de son esprit, et se sentit ridicule rien que de l’avoir envisagée. Il prit une profonde inspiration, convoqua tout ce qu’il pouvait de colère et d’indignation, et éructa, prenant de l’assurance à chaque mot :

- Mais qu’est-ce qu’il te prend enfin ? Bien sûr que ton cul est beaucoup trop gros. Ton cul était déjà bien trop gros il y a une heure. A présent il ressemble à un coussin de canapé ! C’en est indécent ! Maintenant fais-moi plaisir et reprend-toi, qu’on réfléchisse à ce qui est en train de t’arriver !

Mais Sandra ne l’entendait déjà plus. Les yeux fermée, elle se mordait la lèvre.

- Ooohhh… Hm… Mmm… Mfff…

Ses gémissements bruyants alertèrent Jeff qui s’interrompit. Devant lui, les fesses de Sandra tremblaient légèrement à chacun de ses soupirs lascifs, par minuscules à-coups qui faisaient ondoyer toute la surface de son capiton. Elle soulevait rythmiquement sa large croupe par saccades de quelques millimètres. C’est alors que Jeff remarqua quelque chose d’étrange : ses fesses ne retombaient pas. Au contraire, elles semblaient s’élever toujours plus, se rapprocher encore et encore, à chaque secousse. Le haut de ses hanches lui arrivaient presque au nombril !

- OOOOuuuiiiii !

Un spasme orgasmique étira Sandra de toute sa hauteur. Les yeux de Jeff s’arrondir : elle était presque aussi haute que lui ! Ils ne devaient plus guère avoir plus de 2 cm d’écart à présent.

Le cou de Sandra pivota lentement et son visage transpirant et extatique se tourna vers lui. Sa petite amie ne l’avait jamais regardé avec des yeux plus aimant.

- Ohh Jeff, j’adore ce que tu me fais ! Continue je t’en prie ! Regarde mes fesses, je crois qu’elles ont encore un peu grossit. Qu’est-ce que tu en penses mon amour ?

Subjugué, Jeff ne put s’empêcher d’obéir, et regarda les fesses gigantesques qui lui faisaient face. Elles étaient maintenant chacune bien plus large que lui.

Sandra sentait avec délectation les yeux de son petit ami posés sur son derrière. De plaisir, elle se mit à se dandiner doucement, à rouler d’un côté, puis de l’autre, avec lenteur. Ses pieds se soulevaient en rythme, se rapprochant imperceptiblement de Jeff à chaque ondulation. Ses mains caressaient ses hanches, dans une invitation silencieuse à combler la distance qui les séparait, à toucher ses formes excessives. Elle tourna la tête, fermant les yeux, pour se concentrer sur sa chorégraphie séductrice.

Jeff était sous le charme de la danse sensuelle de sa compagne. Les deux énormes boules moelleuses coulaient l’une contre l’autre dans un hypnotique ballet perpétuel. Le pantalon de Sandra n’était plus que lambeaux qu’un rien semblait pouvoir arracher. La peau douce de sa compagne se révélait par larges bandes. Elle ne lui avait jamais parue si tentante, si belle. Cette croupe démesurée qui se trémoussait à moins d’un pas, éveillait en lui un désir puissant, primitif, essentiel.

N’y tenant plus, ses mains se levèrent, se tendirent vers les deux orbes concupiscentes. Ses membres lui parurent comiquement petits par rapport à l’ampleur prodigieuse des fesses de sa compagne. Il aurait voulu ne faire qu’effleurer furtivement. Frôler la surface frémissante sans qu’elle ne s’aperçoive de rien. Satisfaire sa curiosité perverse sans succomber aux avances furieuses de Sandra. Mais il fut surpris par l’amplitude du mouvement de bassin de sa petite amie. Le bout de ses doigts s’enfoncèrent délicatement dans la chair chaude du haut de sa fesse droite.

- Ohhh OUIIIIII !

Le corps de Sandra réagit instantanément au contact. En un éclair, les mains de Jeff se remplirent de chair tendre et souple. Le derrière colossal sembla zoomer vers Jeff mais les pieds de Sandra ne bougeaient pourtant pas. Elle ne faisait que grossir de toute part. Ses fesses s’arrondissaient, s’élargissaient, s’élevaient alors que ses jambes robustes gagnaient en épaisseur et en hauteur.

La surprise le poussa à interrompre l’agréable contact. Il retira ses mains et se plaqua au mur. L’intimidation se transformait en crainte alors que sa petite amie déchaînée était désormais aussi grande que lui, et bien plus lourde.

Sandra sortie de son euphorie, frustrée par son repli et, d’instinct, vint chercher de ses fesses les mains tendres qui l’avaient si délicieusement prise.

- Ooh Jeff ! Recommence ! Ooohhh… Touche-moi !

Jeff vit alors la masse de sa petite amie reculer inexorablement vers lui, le cul saillant, à la recherche de ses mains, de son corps. Les deux énormes fessiers vinrent remplir la moitié inférieur de son champs de vision. Elles étaient désormais si rondes et si volumineuses qu’il lui faudrait enfouir sa tête dans sa raie pour espérer toucher les deux hanches de sa petite amie simultanément. Il leva les mains, comme on affronte une vague à la plage.

- Hann !

Les deux bulles faramineuses de sexualité furieuse se déposèrent sur Jeff, s’étalèrent sur son bas ventre, enrobèrent ses cuisses jusqu’à presque toucher le mur derrière lui. La pression moelleuse et chaude électrisa Jeff qui se sentit durcir contre le cul pour ainsi dire nu de sa petite amie.

- Oh Jeff ouuiiii ! Han ! Ooohhhhhh … Mmf ! Ouuuummmfff !

Il sentit la chair ferme et souple qui enrobait son bassin frotter contre lui par saccade. A chaque soubresaut, la pression s’accentuait faiblement et la surface de son corps couverte par les fesses de Sandra augmentait.

Jeff leva le regard, cherchant celui de sa petite amie. Il devait désormais plier légèrement la nuque pour lui faire face. Sa petite amie le regardait amoureusement par dessus son épaule, de haut. Elle faisait maintenant 4 cm de plus que lui.

- Mfff…

Il sentit les fesses de Sandra se répandre un peu plus sur son bas ventre. Et il dû plier un peu plus sa nuque pour continuer à la regarder dans les yeux. Elle venait de gagner un centimètre.

- Jeff, tu me rends folle, souffla-t-elle d’une haleine chargée de désir. Je te sens contre moi. C’est tellement bonnnnmmfff !

Encore un centimètre.

Dans la tête de Jeff bataillait la peur d’être prisonnier des gigantesques fesses d’une amazone en furie, et un désir d’une puissance, d’une pureté telle qu’il n’en avait jamais connu.

- Caresse-moi Jeff ! Pose tes mains sur moi ...

Encore un centimètre.

Quelque chose, dans la voix possédée de Sandra, dans les frissons que ses fesses toujours plus grosses passaient en lui, ou peut-être dans le regard attendrit qu’elle lui jetait, le firent basculer. Obéissant, il baissa ses bras et posa ses mains sur la croupe prodigieusement vaste qui le plaquait au mur. Cette fois, il les planta franchement.  Ses paumes épousèrent l’abondance qui l’enfouissait, la saisit du mieux qu’elles pouvaient alors qu’elles étaient maintenant incapables d’en atteindre les limites. L’alchimie de douceur et de fermeté, de chaleur et de souplesse, l’enivra instantanément. Ses mains se mirent toutes seules en mouvement, massant, caressant, pétrissant.

- OOOOOhhh oui ! Encore ! Oumpf… Jeff, continue ! Hmmm…

Répondant à ses soins, la pâte leva, gonfla, s’épanouit contre lui, l’engloutissant toujours un peu plus. Les deux brioches surdimensionnées respiraient, s’aplatissaient mollement contre le mur de part et d’autre de son corps, soulevaient ses mains, ses bras. Les deux titanesques lèvres pulpeuses l’avalaient par succions toujours plus goulues. Il sentait son ventre s’enfoncer dans cette bouche torride. Son nombril dévoré, les lèvres se refermaient sur le haut de son abdomen.

Face à lui, le dos de Sandra était un mur : plus large, plus haut, plus massif. Elle faisait une bonne tête de plus que lui et sa croissance surnaturelle ne montrait aucun signe de ralentissement. L’écart qui les séparait était maintenant plus grand que lorsque tout était normal, et où c’était lui le plus grand du couple. Il n’arrivait pas à réaliser que cette montagne de femme était bien Sandra, sa timide et jadis menue petite amie.

Ses grands yeux ronds le dévisageait par dessus son épaule, toujours aussi amourachées. Elle semblait complètement indifférente aux changements qui l’affectaient. Sur son visage, il n’y avait plus trace d’embarras, plus de réserve. Elle était toute à ce moment de plaisir qu’elle partageait avec Jeff.

Elle le voulait plus. Elle voulait le sentir davantage, plus prêt, plus profond. En elle. Pour satisfaire ce désir de communion charnelle, elle fléchit les genoux et son bassin se mit en branle. Ses hanches s’élevaient et s’abattaient lentement contre son partenaire, dans un mouvement de balancier lascif.

Jeff sentit la chair monter et descendre sur lui, frotter son sexe, son ventre, lécher son corps tout entier. Il accueillit comme il put cette déferlante, en s’agrippant de plus belle aux copieuses rondeurs et en accompagnant le mouvement de ses propres coups de reins langoureux.

-Houuuuu… HAN !

Tout contre elle, Sandra sentit la verge de son compagnon, sa durceur tendue vers sa moiteur. Et ce contact déchaîna la rage orgasmique qui l’habitait.

Jeff vit le dos de Sandra se cambrer, s’affaisser comme la mer tandis que la vague de son cul, désormais large comme son bureau et haut comme un de ses bras, s’abattit sur lui. Elle accélérait le rythme de ses va-et-viens. Leur étreinte prenait des allures de sexe intense, animal.

- Houm… Oohhh… Hannn… Haanfff…

A chaque gémissement extatique, à chaque aller-et-retour, le derrière de Sandra revenait plus immense, plus têtu, plus affamé. Le frottement était si intense, qu’il emportait les vêtements de Jeff. Sa chemise se froissa sur son thorax, révélant son ventre. Un coup de rein déterminé fit sauter le bouton de son pantalon. Les suivants le descendirent sur ses cuisses, son caleçon avec.

Le contact de leurs deux peaux nues démultiplia leur plaisir. Sandra intensifia encore ses mouvements. Les fluides de Sandra inondèrent son bas ventre et leurs sexes glissèrent l’un sur l’autre sans se trouver.

L’amplitude des coups de reins de Sandra ne cessait d’augmenter, alors que ses fesses, et tout le reste de son corps, ne cessaient de grandir. Le haut de ses hanches atteignaient maintenant le milieu du thorax de Jeff, de plus en plus dépassé, suffocant du désir de sa colossale compagne.

- Sandra ! Appela-t-il finalement, paniqué par la taille de sa compagne, désespéré de reprendre un peu de prise sur la situation.

Confondant son appel à l’aide pour un cri d’amour, Sandra se cambra de plus belle.

- Houmm… Oummfff!

Jeff sentit son corps tout entier entraîné par le rouleau compresseur qui dévalait sur lui. Ses pieds quittèrent le sol, soulevé comme un fêtu de paille par le cul de sa petite amie. Il s’aida du mieux qu’il pouvait de ses bras, agrippant les fesses de Sandra comme des bouées, pour rester à la surface, ne pas sombrer dans l’obscurité de cette raie moite et goulue.

- SANDRAAAAAAAA !!!!!

 

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