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Il lui fallut un instant pour regagner sa contenance.

- Sandra. Tu viens vraiment de déchirer ton jean avec ton cul ? demanda-t-il outré. Ça en devient ridicule tu ne crois pas ? Je sais pas moi, met-toi au sport, fait un régime. Il serait temps que tu te prennes en main pour en finir une bonne fois avec ce gros cul !

Sa déclaration aurait dû la terrasser. Mais elle eut sur elle un autre effet. Elle attisa sa fièvre sexuelle. Le voir s’acharner ainsi, adresser à haute voix le sujet de ses fesses, qu’il les traite de grosse explicitement : elle n’avait jamais rien entendu d’aussi excitant. Chacune des ses sentences énervées dévoilaient un peu plus en elle un fantasme nouveau. Le simple fait qu’il s’intéresse à son cul, même pour en dire du mal, lui donnait une bouffée de chaleur. Elle avait vaguement conscience que la potion brouillait ses émotions, transformait sa honte en désir, son embarras en excitation. Au fond, elle s’en moquait. Le plaisir était trop grand.
Quand il a prononcé “gros cul”, c’est comme s’il avait énoncé un ordre : ses fesses bondirent d’une demi-taille supplémentaire. Son ample derrière s’étalait, faisant grincer le cuir du canapé. L’entrejambe de son jean continuait de se déchirer.

- Pourquoi ton cul grossit-il ? articula Jeff avec inquiétude.

Sa question l’excita de plus belle. Elle sentait qu’elle perdait le contrôle. Elle devait faire quelque chose, pousser Jeff dehors, le faire partir. Avec effort, elle se releva du canapé. Aussitôt, elle sentit que son centre de gravité avait changé.

Jeff ouvrit des yeux ronds et sa bouche s’entrouvrit. Elle suivit son regard et constata l’ampleur du désastre : ses hanches avaient pris un volume tout à fait anormal. Elle était désormais large comme deux personnes. Le constater fit frétiller son popotin. Elle entreprit de faire le tour de la table basse afin d’attraper son compagnon et l’entraîner au plus vite vers la sortie. Elle n’avait pas fait trois pas qu’elle sentit son derrière rebondir sur quelque chose.

“Bang”

Elle jeta un œil derrière elle : sa télé avait basculé et était venue se fracasser sur le coin de la table basse. Elle était complètement hors d’usage.

- Sandra, s’indigna Jeff, ton gros cul viens de détruire ta télé toute neuve !

Ses fesses tremblèrent à nouveau, plus fortement. Sandra n’essaya même plus de résister. Elle porta ses mains à son sexe et se plia en deux, exposant son impossible postérieur à Jeff.

- Ooohhhh oummmf…

Son tour de fesse s’élargit d’une bonne taille en l’espace d’une poignée de secondes. Elle tressaillit de plaisir, ce qui eu pour effet de faire onduler hypnotiquement son postérieur. Son jean se fissurait de partout, révélant de larges portions de capiton tendre et frémissant.

- Oh ouiiiii!

Sandra avait jeté toute pudeur par la fenêtre. Elle s’abandonnait à l’instant, savourait ce plaisir généreux que lui donnait la surface si large de son postérieur. Elle en voulait encore, elle en voulait plus.

Jeff regardait avec une confusion grandissante les fesses de sa petite amie grossir dans des proportions dantesques. Il n’arrivait plus à détacher son regard de cet immense postérieur dont il n’imaginait pas pouvoir faire le tour de ses deux bras. Que cette masse scabreuse fusse attachée à sa petite amie le perturbait au plus haut point. Il lutta contre son envie de le toucher et demanda d’une voix chevrotante :

- Ne me dis pas que tu prends plaisir à ce qui t’arrive ? Comment peux-tu te réjouir avec un cul aussi énorme ? Aussi obscène ?

Si Jeff avait voulu l’encourager, il ne s’y serait pas pris autrement. Elle plaqua sa main droite sur sa fesse pour le sentir grossir.

- Ha… Haaaaaannn…

Elle jouissait.

Le plaisir qui émanait de son fondement était maintenant si intense qu’elle le sentait se diffuser partout dans son corps. Ses seins appuyaient agréablement contre son soutient-gorge. Son chemisier et ses sandales commençaient à la serrer. Elle n’en avait cure.

Jeff vit la croupe de sa petite amie s’élever, centimètres après centimètres. Il leva les yeux et compris : ce n’était pas seulement ses fesses qui s’élevaient. Ses épaules s’élargissaient, ses jambes s’allongeaient, sa tête s’étirait, sa main se répandait sur sa large fesse. Sandra toute entière était en train de grandir. Comme si son corps s’adaptait à son postérieur, et gagnait en masse pour lui permettre de continuer à grossir. Le sommet du crâne de sa petite amie devait maintenant lui arriver au niveau des yeux. Elle lui tournait toujours le dos et n’avait pas l’air d’avoir conscience de ce qui lui arrivait. Au contraire, elle continuait de gémir doucement, de respirer profondément.

- Ohhhh c’est bon… Encore… Jeff… Jeff…

Son plaisir retombait. Elle ne grandissait plus. Elle se retourna pour lui faire face, sa main toujours posée sur sa large fesse.

- Je t’en prie Jeff, demanda-t-elle d’une petite voix hésitante, redis-le moi…

Elle avait une expression d’embarras immense, comme si elle était surprise en train de se masturber par un inconnu. Et sa voix sonnait comme une excuse. Jeff, néanmoins, se sentait désarçonné, menacé même, par sa plus si petite amie. Il émanait d’elle une pulsion sexuelle si folle, si furieuse, qu’elle lui faisait perdre le contrôle. Elle pourtant si discrète, si prude habituellement, semblait à deux doigts de lui sauter dessus.

- Q-Que veux-tu que je te redise ? bégaya Jeff d’une voix aussi petite qu’elle.

Elle fit une enjambée vers lui, faisant rouler ses hanches. Son jean craquait de plus belle, de longues déchirures révélaient ses cuisses épaisses. Elle était désormais à moins d’un mètre de lui, et la taille de sa silhouette, aussi bien que sa largeur, intimida Jeff au plus haut point. Elle se mit de côté, révélant toute la rondeur de son derrière.

- Que penses-tu de … mes fesses ?

Sa voix était aussi ténue qu’auparavant, mais avait gagné une pointe d’insistance. Il recula d’un pas, effrayé par les événements, et plus encore par l’attitude absurde de Sandra. Il ne reconnaissait plus la personne complexée avec qui il avait partagé ces derniers mois.

- Tu veux savoir ce que j’en pense de ton cul ? répondit-il avec des accents éraillés et fuyants. C’est évident pourtant.

- Dis-le. Dis-le s’il te plaît, demanda-t-elle gentiment.

Elle tourna complètement son postérieur vers lui, l’offrit à son regard dans un roulement sensuel du bassin. Sa raie apparaissait presque totalement à travers la déchirure qui parcourait son entrejambe.

-Est-ce que mes fesses te paraissent… trop grosses ?

Elle se cambra et leva son postérieur vers lui, dans une pose plus que suggestive. Cette forme ample et généreuse appelait irrésistiblement son regard, mais aussi ses mains qu’il dû retenir avec effort.

 

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