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Jeff déglutit. Il se sentait soudain tout petit face à ce large fessier qui s’approchait de lui et menaçait de l’engloutir. Il avait beau être encore un peu plus grand qu’elle, elle pesait certainement plus que lui à présent. Inconsciemment, il esquissa un nouveau pas en arrière, mais son talon heurta le mur. Une goutte de sueur glacée ruissela dans sa nuque et le fit frissonner. L’idée lui vint de prendre la fuite. De courir tout de suite, sans attendre, vers la sortie. Il chassa cette pensée de son esprit, et se sentit ridicule rien que de l’avoir envisagée. Il prit une profonde inspiration, convoqua tout ce qu’il pouvait de colère et d’indignation, et éructa, prenant de l’assurance à chaque mot :

- Mais qu’est-ce qu’il te prend enfin ? Bien sûr que ton cul est beaucoup trop gros. Ton cul était déjà bien trop gros il y a une heure. A présent il ressemble à un coussin de canapé ! C’en est indécent ! Maintenant fais-moi plaisir et reprend-toi, qu’on réfléchisse à ce qui est en train de t’arriver !

Mais Sandra ne l’entendait déjà plus. Les yeux fermée, elle se mordait la lèvre.

- Ooohhh… Hm… Mmm… Mfff…

Ses gémissements bruyants alertèrent Jeff qui s’interrompit. Devant lui, les fesses de Sandra tremblaient légèrement à chacun de ses soupirs lascifs, par minuscules à-coups qui faisaient ondoyer toute la surface de son capiton. Elle soulevait rythmiquement sa large croupe par saccades de quelques millimètres. C’est alors que Jeff remarqua quelque chose d’étrange : ses fesses ne retombaient pas. Au contraire, elles semblaient s’élever toujours plus, se rapprocher encore et encore, à chaque secousse. Le haut de ses hanches lui arrivaient presque au nombril !

- OOOOuuuiiiii !

Un spasme orgasmique étira Sandra de toute sa hauteur. Les yeux de Jeff s’arrondir : elle était presque aussi haute que lui ! Ils ne devaient plus guère avoir plus de 2 cm d’écart à présent.

Le cou de Sandra pivota lentement et son visage transpirant et extatique se tourna vers lui. Sa petite amie ne l’avait jamais regardé avec des yeux plus aimant.

- Ohh Jeff, j’adore ce que tu me fais ! Continue je t’en prie ! Regarde mes fesses, je crois qu’elles ont encore un peu grossit. Qu’est-ce que tu en penses mon amour ?

Subjugué, Jeff ne put s’empêcher d’obéir, et regarda les fesses gigantesques qui lui faisaient face. Elles étaient maintenant chacune bien plus large que lui.

Sandra sentait avec délectation les yeux de son petit ami posés sur son derrière. De plaisir, elle se mit à se dandiner doucement, à rouler d’un côté, puis de l’autre, avec lenteur. Ses pieds se soulevaient en rythme, se rapprochant imperceptiblement de Jeff à chaque ondulation. Ses mains caressaient ses hanches, dans une invitation silencieuse à combler la distance qui les séparait, à toucher ses formes excessives. Elle tourna la tête, fermant les yeux, pour se concentrer sur sa chorégraphie séductrice.

Jeff était sous le charme de la danse sensuelle de sa compagne. Les deux énormes boules moelleuses coulaient l’une contre l’autre dans un hypnotique ballet perpétuel. Le pantalon de Sandra n’était plus que lambeaux qu’un rien semblait pouvoir arracher. La peau douce de sa compagne se révélait par larges bandes. Elle ne lui avait jamais parue si tentante, si belle. Cette croupe démesurée qui se trémoussait à moins d’un pas, éveillait en lui un désir puissant, primitif, essentiel.

N’y tenant plus, ses mains se levèrent, se tendirent vers les deux orbes concupiscentes. Ses membres lui parurent comiquement petits par rapport à l’ampleur prodigieuse des fesses de sa compagne. Il aurait voulu ne faire qu’effleurer furtivement. Frôler la surface frémissante sans qu’elle ne s’aperçoive de rien. Satisfaire sa curiosité perverse sans succomber aux avances furieuses de Sandra. Mais il fut surpris par l’amplitude du mouvement de bassin de sa petite amie. Le bout de ses doigts s’enfoncèrent délicatement dans la chair chaude du haut de sa fesse droite.

- Ohhh OUIIIIII !

Le corps de Sandra réagit instantanément au contact. En un éclair, les mains de Jeff se remplirent de chair tendre et souple. Le derrière colossal sembla zoomer vers Jeff mais les pieds de Sandra ne bougeaient pourtant pas. Elle ne faisait que grossir de toute part. Ses fesses s’arrondissaient, s’élargissaient, s’élevaient alors que ses jambes robustes gagnaient en épaisseur et en hauteur.

La surprise le poussa à interrompre l’agréable contact. Il retira ses mains et se plaqua au mur. L’intimidation se transformait en crainte alors que sa petite amie déchaînée était désormais aussi grande que lui, et bien plus lourde.

Sandra sortie de son euphorie, frustrée par son repli et, d’instinct, vint chercher de ses fesses les mains tendres qui l’avaient si délicieusement prise.

- Ooh Jeff ! Recommence ! Ooohhh… Touche-moi !

Jeff vit alors la masse de sa petite amie reculer inexorablement vers lui, le cul saillant, à la recherche de ses mains, de son corps. Les deux énormes fessiers vinrent remplir la moitié inférieur de son champs de vision. Elles étaient désormais si rondes et si volumineuses qu’il lui faudrait enfouir sa tête dans sa raie pour espérer toucher les deux hanches de sa petite amie simultanément. Il leva les mains, comme on affronte une vague à la plage.

- Hann !

Les deux bulles faramineuses de sexualité furieuse se déposèrent sur Jeff, s’étalèrent sur son bas ventre, enrobèrent ses cuisses jusqu’à presque toucher le mur derrière lui. La pression moelleuse et chaude électrisa Jeff qui se sentit durcir contre le cul pour ainsi dire nu de sa petite amie.

- Oh Jeff ouuiiii ! Han ! Ooohhhhhh … Mmf ! Ouuuummmfff !

Il sentit la chair ferme et souple qui enrobait son bassin frotter contre lui par saccade. A chaque soubresaut, la pression s’accentuait faiblement et la surface de son corps couverte par les fesses de Sandra augmentait.

Jeff leva le regard, cherchant celui de sa petite amie. Il devait désormais plier légèrement la nuque pour lui faire face. Sa petite amie le regardait amoureusement par dessus son épaule, de haut. Elle faisait maintenant 4 cm de plus que lui.

- Mfff…

Il sentit les fesses de Sandra se répandre un peu plus sur son bas ventre. Et il dû plier un peu plus sa nuque pour continuer à la regarder dans les yeux. Elle venait de gagner un centimètre.

- Jeff, tu me rends folle, souffla-t-elle d’une haleine chargée de désir. Je te sens contre moi. C’est tellement bonnnnmmfff !

Encore un centimètre.

Dans la tête de Jeff bataillait la peur d’être prisonnier des gigantesques fesses d’une amazone en furie, et un désir d’une puissance, d’une pureté telle qu’il n’en avait jamais connu.

- Caresse-moi Jeff ! Pose tes mains sur moi ...

Encore un centimètre.

Quelque chose, dans la voix possédée de Sandra, dans les frissons que ses fesses toujours plus grosses passaient en lui, ou peut-être dans le regard attendrit qu’elle lui jetait, le firent basculer. Obéissant, il baissa ses bras et posa ses mains sur la croupe prodigieusement vaste qui le plaquait au mur. Cette fois, il les planta franchement.  Ses paumes épousèrent l’abondance qui l’enfouissait, la saisit du mieux qu’elles pouvaient alors qu’elles étaient maintenant incapables d’en atteindre les limites. L’alchimie de douceur et de fermeté, de chaleur et de souplesse, l’enivra instantanément. Ses mains se mirent toutes seules en mouvement, massant, caressant, pétrissant.

- OOOOOhhh oui ! Encore ! Oumpf… Jeff, continue ! Hmmm…

Répondant à ses soins, la pâte leva, gonfla, s’épanouit contre lui, l’engloutissant toujours un peu plus. Les deux brioches surdimensionnées respiraient, s’aplatissaient mollement contre le mur de part et d’autre de son corps, soulevaient ses mains, ses bras. Les deux titanesques lèvres pulpeuses l’avalaient par succions toujours plus goulues. Il sentait son ventre s’enfoncer dans cette bouche torride. Son nombril dévoré, les lèvres se refermaient sur le haut de son abdomen.

Face à lui, le dos de Sandra était un mur : plus large, plus haut, plus massif. Elle faisait une bonne tête de plus que lui et sa croissance surnaturelle ne montrait aucun signe de ralentissement. L’écart qui les séparait était maintenant plus grand que lorsque tout était normal, et où c’était lui le plus grand du couple. Il n’arrivait pas à réaliser que cette montagne de femme était bien Sandra, sa timide et jadis menue petite amie.

Ses grands yeux ronds le dévisageait par dessus son épaule, toujours aussi amourachées. Elle semblait complètement indifférente aux changements qui l’affectaient. Sur son visage, il n’y avait plus trace d’embarras, plus de réserve. Elle était toute à ce moment de plaisir qu’elle partageait avec Jeff.

Elle le voulait plus. Elle voulait le sentir davantage, plus prêt, plus profond. En elle. Pour satisfaire ce désir de communion charnelle, elle fléchit les genoux et son bassin se mit en branle. Ses hanches s’élevaient et s’abattaient lentement contre son partenaire, dans un mouvement de balancier lascif.

Jeff sentit la chair monter et descendre sur lui, frotter son sexe, son ventre, lécher son corps tout entier. Il accueillit comme il put cette déferlante, en s’agrippant de plus belle aux copieuses rondeurs et en accompagnant le mouvement de ses propres coups de reins langoureux.

-Houuuuu… HAN !

Tout contre elle, Sandra sentit la verge de son compagnon, sa durceur tendue vers sa moiteur. Et ce contact déchaîna la rage orgasmique qui l’habitait.

Jeff vit le dos de Sandra se cambrer, s’affaisser comme la mer tandis que la vague de son cul, désormais large comme son bureau et haut comme un de ses bras, s’abattit sur lui. Elle accélérait le rythme de ses va-et-viens. Leur étreinte prenait des allures de sexe intense, animal.

- Houm… Oohhh… Hannn… Haanfff…

A chaque gémissement extatique, à chaque aller-et-retour, le derrière de Sandra revenait plus immense, plus têtu, plus affamé. Le frottement était si intense, qu’il emportait les vêtements de Jeff. Sa chemise se froissa sur son thorax, révélant son ventre. Un coup de rein déterminé fit sauter le bouton de son pantalon. Les suivants le descendirent sur ses cuisses, son caleçon avec.

Le contact de leurs deux peaux nues démultiplia leur plaisir. Sandra intensifia encore ses mouvements. Les fluides de Sandra inondèrent son bas ventre et leurs sexes glissèrent l’un sur l’autre sans se trouver.

L’amplitude des coups de reins de Sandra ne cessait d’augmenter, alors que ses fesses, et tout le reste de son corps, ne cessaient de grandir. Le haut de ses hanches atteignaient maintenant le milieu du thorax de Jeff, de plus en plus dépassé, suffocant du désir de sa colossale compagne.

- Sandra ! Appela-t-il finalement, paniqué par la taille de sa compagne, désespéré de reprendre un peu de prise sur la situation.

Confondant son appel à l’aide pour un cri d’amour, Sandra se cambra de plus belle.

- Houmm… Oummfff!

Jeff sentit son corps tout entier entraîné par le rouleau compresseur qui dévalait sur lui. Ses pieds quittèrent le sol, soulevé comme un fêtu de paille par le cul de sa petite amie. Il s’aida du mieux qu’il pouvait de ses bras, agrippant les fesses de Sandra comme des bouées, pour rester à la surface, ne pas sombrer dans l’obscurité de cette raie moite et goulue.

- SANDRAAAAAAAA !!!!!

 

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